En revanche, à Schiphol, la restriction du nombre de passagers a été prolongée au moins jusqu’à la fin mars de l’année prochaine. Heathrow pense qu’il faudra des années avant que le nombre de passagers ne retrouve son niveau d’avant la crise du coronaire.
« La situation économique, la guerre en Ukraine et l’impact du COVID-19 font qu’il est peu probable que nous retrouvions les niveaux précédents d’ici deux ans », rapporte Heathrow, qui souligne qu’une exception sera faite pour les heures de pointe.
En consultation avec les compagnies aériennes, l’aéroport étudie la possibilité de mieux répartir les foules, par exemple à l’approche de Noël. Heathrow s’attend à accueillir entre 60 et 62 millions de passagers cette année. « Environ un quart de moins qu’en 2019. »