Une finale palpitante au Sánchez Pizjuán entre Séville et Valence lors de la 10e journée de la Liga espagnole.. Un joueur expulsé (qui aurait pu être un Argentin et dont la décision a été annulée), un penalty arrêté en prolongation et la complainte d’un visiteur qui n’a pas pu prendre les trois points contre l’équipe de Jorge Sampaoli. C’était 1-1.
Bono et Lamela, les clés (EFE).
Avec trois Argentins titulaires pour Séville (Papu Gómez, Gonzalo Montiel et Marcos Acuña).Valence a pris l’avantage après seulement six minutes grâce à un but de l’Uruguayen Cavani. En deuxième mi-temps, à 41 minutes de la fin, Lamela a marqué de la tête sur un coup de pied de coin et un coup de tête d’un coéquipier. C’était le premier but de Coco cette saison. Tout est dit et fait ? Non.
Montiel (Lamela est entré en jeu à sa place) et Acuña ont été remplacés à la mi-temps. que Papu Gómez a joué tout le match. Il avait été expulsé à la sixième minute supplémentaire du ST pour avoir mis à terre un adversaire avant de se retrouver en tête-à-tête avec le gardien Bono. Cependant, l’arbitre a annulé sa décision à la demande de la VAR, en lui montrant un carton jaune. Kike Salas a vu rouge à Séville et l’arbitre a fini par accorder un penalty : Bono a bien arrêté le tir de Gayá.
Les Sévillans ont dix points en dix matches ; quinze pour Valence.. Dans le prochain match, les Andalous se rendent au Real Madrid samedi. De son côté, l’équipe de Gattuso recevra Majorque.
LE RÉSUMÉ DU MATCH
SAMPAOLI VS. GATTUSO
Ce n’est pas la première fois qu’une telle chose se produit avec Jorge Sampaoli. Ce ne sera pas non plus le dernier, assurément. L’entraîneur argentin a tendance à perdre facilement son sang-froid au milieu du terrain. Il perd son sang-froid. Et l’image n’est pas agréable. Cette fois, au milieu d’un matchl’ancien entraîneur de l’équipe nationale est allé crier, totalement secoué, un but vers le banc où était assis Gennaro Gattuso, l’entraîneur rival. Un détail de plus ? Ils ont fini par l’annuler pour son équipe. A la fin, ils ont fini par se saluer.
Sampaoli, hors de contrôle.