Le Paris Saint-Germain a gagné et l’a fait confortablement, mais… d’une manière ou d’une autre, la concentration a disparuencore, deux protagonistes qui ont pris part à une scène qui s’est répétée. Lionel Messi a assisté deux fois et Neymar ont marqué un but, tandis que Mbappé et Bernat a scellé la victoire 3-0. Malgré cela, à dix minutes de la fin du match contre Toulouse, Christophe Galtier a pris la décision de… pour enlever l’Argentinalors qu’avec le Brésilien, il l’avait fait à l’heure de jeu. Et il y a des visages qui en disent long.
Ils n’aiment pas sortir
Leo et Ney ont réalisé un grand match et ont beaucoup contribué à la victoire du PSG. Tout n’était que rires, bonheur et plaisir pour eux, jusqu’à ce qu’ils voient l’enseigne lumineuse. Le premier à sortir le 10, Neymar, puis ce fut le tour de Messi. Évidemment, la caméra les a surpris et a laissé une photo qui en dit long. Malgré la colère des joueurs, L’entraîneur Galtier a pris la parole et a expliqué ses raisons.
Arrivé en juillet 2022, il connaît ses premières controverses (Photo : Lionel BONAVENTURE / AFP).
Concernant la modification du brésilien, Christophe a déclaré, « J’ai vu que Neymar a fait deux gros contacts sur sa cheville. Je ne voulais pas le mettre en colère et je voulais le sauver. ». A sa place, Hugo Ekitike, un attaquant français de 20 ans qui commence à avoir ses premières minutes, a été engagé.
Du côté de Lionel (Hakimi est entré en jeu à sa place), le DT a déclaré, « A la fin du match, je voulais laisser Messi respirer ».. Il est vrai que La Pulga a fait un grand effort et a été l’un des meilleurs joueurs du match, Le visage de Lionel suggère qu’il n’a pas aimé le changement. Le match est terminé, il reste dix minutes et c’est à son tour de voir le numéro 30 sur le tableau d’affichage.
Le week-end précédent, Galtier avait également retiré Leo, mais à cette occasion, le PSG avait fait match nul 1-1 contre Monaco, ce qui était une surprise. Cette fois-ci, cela n’a pas eu un tel impact en raison du résultat lorsque Messi a quitté le terrain (son équipe menait 2-0).
La monnaie de Lionel (REUTERS/Christian Hartmann)