Après la situation répudiatoire qui s’est déroulée le 27 juillet en Turquie lors du match de reprise entre Fenerbahçe et le Dynamo Kiev en pré-Champions League, l’UEFA a pris des mesures et a appliqué une sanction sévère à l’équipe turque, qui devra payer une amende de 1 000 euros. 50 000 euros et la fermeture partielle de son stade pour une période de deux ans.conformément à l’article 31 du règlement disciplinaire du club.
Les supporters turcs et un acte répugnant. EFE/EPA/SEDAT SUNA
Que s’est-il passé ? Après le match nul 0-0 à l’aller en Ukraine, Fenerbahçe a reçu son adversaire au stade Şükrü Saracoğlu d’Istanbul, et ses supporters ont eu une réaction qui a conduit à la sanction de l’UEFA : avant le match nul 1-2 qui a éliminé l’équipe turque de la Ligue des champions, leurs supporters ont scandé en faveur de Vladimir Poutine, président de la Russie.juste devant le rival ukrainien… Un acte totalement délibéré et, en même temps, répudiant.
Les événements ont eu lieu après que l’arbitre ait expulsé le milieu de terrain Ismael Yüksek de l’équipe locale, et quatre minutes plus tard, Vitaliy Buyalskiy du Dynamo a été expulsé, a marqué le but de la victoire (1-0) et l’a célébré sans aucun scrupule, selon la presse turque.
Jorge Jesus, DT de Fenerbahçe. EFE
Après que les images sont devenues virales, l’UEFA a décidé de lancer une enquête sur l’équipe turque entraînée par Jorge Jesus, un ancien joueur portugais de Flamengo, et qui a joué à domicile contre le Slovacko le 4 août (victoire 3-0) en Europa League, avec la fermeture partielle de son stade. Ceci est dû à la sanction du chant et se poursuivra jusqu’à ce que l’organe compétent en décide ainsi. Qu’il n’y ait pas de répétition…
L’UEFA a également sanctionné Ferencvaros
L’UEFA a également sanctionné l’équipe hongroise pour des incidents racistes lors de ses deux matches de barrage de la Ligue des champions contre le Slovan Bratislava, disputés les 20 et 27 juillet.
Ferencvaros devra payer une amende de 15 000 euros ; jouer avec une partie de son stade partiellement fermée, occupant au moins 1 000 places, lors de son prochain match à domicile en compétition de l’UEFA. et afficher une bannière avec le slogan « Non au racisme » et le logo de l’UEFA.
Les supporters de Ferencvaros. REUTERS