Alors que le GGD a utilisé des dizaines de milliers d’incitations et d’appels lors des précédentes campagnes de vaccination, ce nombre a été réduit à un peu plus de 13 000. Le GGD informe Lakoom Info que.
Par Eva Schouten« En travaillant plus efficacement, nous pouvons désormais déployer moins de personnes que lors des campagnes précédentes », déclare Ernst Moeksis, porte-parole de GGD GHOR Nederland. Cette efficacité comprend les personnes assises en rang et le piqueur qui passe avec le vaccin.
Pour la campagne de rappel actuelle, environ 3 600 prods sont déployés, 2 500 personnes dans les centres d’appels, quelque 3 600 employés administratifs et 3 600 autres employés. « Cela va des médecins aux agents de circulation et aux agents de sécurité », précise M. Moeksis.
Avec ce niveau de personnel, 700 000 ponctions par semaine devraient pouvoir être réalisées. « Nous sommes loin d’y parvenir pour le moment ». Les cycles précédents impliquaient encore des pénuries de vaccins, ce qui n’est pas le cas maintenant, selon le porte-parole. « Et c’est une campagne de précaution. »
Les gens sont donc moins pressés de prendre un rendez-vous, note le GGD. « S’ils ont reçu une invitation, ils regardent quand cela convient dans l’agenda et cela permet de se répandre davantage. »
De plus, comme de nombreux processus sont désormais automatisés, GGD peut travailler avec moins de personnel. « Le RIVM envoie des lettres d’invitation avec un code-barres. Il est scanné sur place afin que toutes les données soient immédiatement correctes dans le système », explique M. Moeksis. Cela permet de gagner du temps et d’éviter les erreurs de frappe.
Les piqûres portent également un code-barres, qui est également scanné et relié à la personne. Le GGD recrute des personnes principalement par le biais d’agences de placement. Pour autant que l’organisation nationale puisse superviser, cela a bien fonctionné.