
Par : Abdelkader DJEBBAR
L’impression qui se dégage à des milliers de kilomètres d’Alger, est que le pays vit une difficile période de confusion. Une confusion qui ne dit son mot qu’à moitié avec tout ce qui se passe à droite, à gauche, au centre. Il est vrai et surtout amer que l’on fasse et défasse un peu trop à la va-vite, tel le cas des remaniements ministériels, les nominations de cadres de l’État et autres décisions qui risquent de perturber sérieusement la vie quotidienne avec les « un pas en avant et deux pas en arrière ».
C’est sûr qu’il n’est pas toujours facile de vivre. Mais au moins, on peut réfléchir pour accéder à une vie meilleure surtout avec toutes les potentialités que recèle notre pays. Mais tout laisse croire que c’est l’écoeurement total qui se construit et qui monte au créneau.Les cas vécus par certains départements ministériels en disent long et large et on se demande au moins si parfois la main droite sait ce que fait la main gauche. D’autant plus que dans le meilleur des cas on sait, preuve à l’appui, qu’une seule main ne peut applaudir, à moins que l’on soit au moins à deux bien unis pour le faire en se prêtant mutuellement les mains. Donc, c’est toute la question de savoir « qui fait quoi » qui reste posée. Qui décide de quoi? Et qui veut quoi?Le programme du président de La République est clair, net et précis. Le précédent Premier ministre a été chargé de le réaliser. Il a été adopté par l’Assemblée nationale. Cautionné par le Sénat. Accepté dans sa globalité. Et tombe alors le couperet. Tebboune est limogé. Ouyahia prend le relais.
Entre temps et en parallèle ça bouge un peu partout. Ça grouille dans plusieurs axes. Rares sont les secteurs d’activites qui vivent dans les normes. Le corps médical s’insurge après l’histoire de Djelfa. Les enseignants se préparent pour la rentrée. Une rentrée qui s’annonce difficile avec la reprise de l’école. Aid el adha est à nos portes. Les maquignons se frottent les mains. Les citoyens se brûlent les doigts. Le soleil cogne fort. Les esprits s’échauffent . L’été n’a pas encore dit son dernier mot. L’automne ne semble pas encore sur le point d’annoncer ses premières pluies pour étouffer les foyers épineux…
Mais le président de La République, en cette Journée du Moudjahidine appelle, d’ores et déjà, les partenaires sociaux et economiques à “la solidarité, à la mobilisation et à l’unification des rangs afin de mener à bien la bataille du développement et préserver l’indépendance financière de l’Algérie et de sa souveraineté sur le plan économique ».
A.D
Comme nous l’avons souligné les OUJDI n’ont pas d’amis, ni TEBOUNE ni quelqu’un d’autre.
1. Cette nomination visait à écarter OU-YAYA de la course pour 2019.
2. Donc avec cette nomination la lutte au sommet, ne concerne désormais que 2 personnes.
– Said Boutef …………….……………..…..de l’Ouest.
– Gaid Salah……………………….………… de l’Est.
– Le Centre………………………………..……Absent (comme d’habitude)
– Le Match final aura lieux entre le clan de l’Est et le clan d’OUJDA.
2. Si ce K.D.S d’OU-YAYA qui à juste titre disait « au tour des kabyles de prendre le pouvoir », était un vrai ARGAZ il refuserait ce cadeau empoisonné de SAID BOUTEF.
3. Les kabyles n’ont jamais accédé à la magistrature SUPRÊME depuis l’indépendance de l’Algérie alors qu’ils ont consentis de gros sacrifices dans la guerre contre FAFA…. !!!